Cahors | 74 | 18 | 20 | 21 | 15 |
2MBS | 52 | 10 | 9 | 15 | 18 |
Mi-Temps : 38 - 19
Scores aux quarts-temps : 18-10, 20-9, 21-15, 15-18.
Lieu : Salle des Sports de Sauzet. Spectateurs : 200. Arbitres : Victor Hugonnier et Marius Ionescu.
Cahors Sauzet Basket :
Seck (2), Baba Alla (4), Diop (16), Patgis (4), Noubissi (9), Prouillac (16), Vukadin (2), Turner (2), Roux (), Durovic (19).
2MBS :
Brugale (), Albino (2), Jouve (14), Hery (6), Adediran (), Bouchet (6), Lalaude (4), Cazaurang (8), Batt (5), Ba (2). Entraîneur : Fred Moncade.
Face à des locaux en quête d’une première victoire, les Béarnais ont subi d’entrée de jeu, encaissant un 7-0 sur des paniers intérieurs. Seul Maxence Héry alimente le score mais sa sortie définitive sur blessure à la 5e minute va porter un coup au moral de ses équipiers. Dès lors, la rencontre va être à sens unique. Les Cadurciens, pourtant pas des foudres de guerre, comprennent vite qu’il faut porter le ballon à l’intérieur. Ils dominent outrageusement les rebonds et profitent d’une défense gruyère pour augmenter leur avance. Avec un secteur intérieur déjà mal en point, les joueurs du Soubestre n’ont pas d’autres solutions que de shooter de loin, mais dans ce domaine également la réussite les fuit puisqu’il faut attendre la 19e minute pour qu’ils réussissent enfin leur premier tir à mi-distance. A la pause, l’écart est déjà conséquent (38-19). A la reprise, Jouve trouve enfin la cible à 2 reprises au-delà de l’arc de cercle, mais cette embellie ne dure pas et les visiteurs retombent dans leurs approximations : ballons perdus en attaque et pression défensive inexistante. Fred Moncade a beau encourager ses joueurs, son équipe ne répond plus et l’écart se stabilise au-delà des 20 points jusqu’à la fin du 3e acte (57-30, 30e). Les joueurs du Soubestre vont avoir une petite réaction d’orgueil dans le dernier quart temps qu’ils vont remporter mais la messe était dite depuis longtemps et les locaux se contentent de gérer leur confortable avance pour empocher leur première victoire de la saison.
Jacques Dufau