N2M – 17e journée
Saint Nazaire, 4e, 37 points - Irissarry, 11e, 28 points
Salle Henri-Fogela à Saint Nazaire, samedi 20h45. Arbitres : François Blondel et Alexandre Thieulin.
Le groupe d’Irissarry :
Bereau, Damestoy, A. Agorrody, P. Agorrody, Etchebarne, Xabi Etchebehere, Errotabehere, Ximun Etchebehere, Chabot, Hiribarne, Nakara, Jaureito, Rocchia, Oxarango (c).
Les Irisartar n'ont rien à perdre à Saint Nazaire
Après Aurillac, les Basques s’attaquent au plus long déplacement de la poule, à Saint Nazaire, 635 km. Une rencontre qui s’annonce difficile face à des locaux en course pour l’accession en N1. Au match aller, les Irisartar s’étaient imposés 33-30 grâce à une des meilleures prestations de la saison. Les Nazairiens sont à deux points du leader, Tardets, la motivation est toute trouvée. Saint Nazaire est doté d’une formation puissante et technique qui demande une concentration totale, tant en défense qu’en attaque. Les Bas Navarrais, dont la défense se porte un peu mieux, auront également besoin de justesse en attaque face au meilleur gardien de la poule, Julien Cardenat. Beaucoup de paramètres à gérer face au large favori de cette rencontre. Les combattants Irisartar n’ont à rien perdre, ils doivent totalement lâcher les chevaux, afin de résister du mieux possible, et pourquoi pas réaliser une très grosse surprise.
Paxcal Unterreiner, entraîneur adjoint :
« Nous avions fait un très bon match contre St Nazaire à domicile et nous avions su profiter du fait qu’ils soient encore à l’époque en phase de réglage pour l’emporter. Aujourd’hui, nous allons rencontrer une équipe qui propose un jeu bien mieux maitrisé et performant. Il nous faut nous appuyer sur les belles choses que l’on a pu voir ces derniers matchs en étant encore plus exigeants et rigoureux. Les joueurs montrent de l’envie et de la détermination pour continuer à croire au maintien. Avec cet état d’esprit, tout reste possible, même d’aller gagner chez le 4 ème. Quoiqu’il advienne, nous avons conscience d’avoir notre destin entre nos mains donc nous nous battrons jusqu’à la dernière journée ».
Beñat Larramendy