PESSAC : 94 – JAO : 88
Score aux quarts temps : 24-21/27-22/14-29/29-16
Salle François Mitterrand Pessac / 50 Spectateurs
Arbitres : Mme Mignot et Mr Jawhara
Pessac : Mobutu(13) Dabadie(19) Gerard(8) Besse(19) Chabrier() Brissac() Meviane(8) Chan(12) Tandavarayen(3) Liénard(12)
JAO : Pérez(4) Ort(18) Mobutu(3) Maysonnave(16) Nyapeye Ngawa(16) Loustaunau(2) Benquet(2) Jakubowski(5) Giraudo(18) Turpin(4)
Face à la lanterne rouge de la poule qui jouait un match décisif sur ses terres, les hommes de Cyril Soto ont joué avec le feu et s’inclinent très logiquement au terme d’une rencontre trop « offensive ».
Le premier quart temps est à l’image de la rencontre et voit les locaux imposer leur jeu face à des Oloronais fébriles offensivement et qui ne font pas honneur à leur rang de deuxième défense de la poule (10-3 / 4’) (24-13/8’). Malgré tout, les visiteurs réagissent et infligent un 8-0 leur permettant de revenir dans la partie 24-21(10’). Malheureusement les « bleu » sont vraiment à côté du sujet et dans le sillage d’une paire Besse / Dabadie très efficace, Pessac inflige un nouveau 10-0 (40-27/16’) pour finalement conclure cette première mi-temps sur le score de 51-43.
Le retour des vestiaires est favorable aux Oloronais qui imposent une grosse pression défensive pour recoller à 55-55(23’). Benjamin Giraudo a la main chaude et enquille 4 paniers primés qui permettent aux Béarnais de prendre les commandes de la partie (62-69/27’). Dans le même temps, les intérieurs Oloronais regagnent la bataille du rebond et la JAO retrouve des couleurs en abordant le dernier acte sur le score de 65-72.
Mais les Girondins ne lâchent rien et au contraire vont signer un dernier acte de feu (29-16). Après avoir été rejoints à 79-79(34’), les Béarnais font cependant le minimum pour continuer à faire la course en tête et mènent 82-86 à deux minutes du terme. La volonté locale combinée au manque de maîtrise béarnaise, traduit par trois pertes de balle décisives, vont sceller le sort de cette rencontre qui échappe complétement aux Oloronais. Deux dernières minutes à oublier rapidement avant la réception de Vieux Boucau samedi prochain à Robert Scohy.
