ES BRUILHOIS 81 JAO 68
Salle de Aubiac / 250 spectateurs
Arbitres Mr Mara et Mlle Talbi
Score aux quarts temps : 19-24/12-12/27-17/23-15
ES Bruilhois : Bottin(13) Gentillet(6) Jouve(25) Rey(6) Dufourg(8) Reverte(10) Bonillo(2) Lavens(4) Layec(7)
JAO : Pérez(24) Ort(9) Mobutu(6) Maysonnave(4) Nyapeye Ngawa(15) Benquet() Loustaunau() Jakubowski(9) Chabanne() Turpin(1)
Dans une salle où il n’est jamais facile de s’imposer, la JAO n’aura fait illusion qu’une mi-temps et s’incline très logiquement face au réalisme et à l’engagement des Lot-et-Garonnais.
Les affaires démarrent plutôt bien pour les Béarnais qui imposent leur jeu, font la course en tête grâce notamment à l’adresse à trois points (18-20/8’) et bouclent ce premier quart temps sur le score de 19-24. Les défenses prennent alors le pas sur les attaques et la partie bascule dans un basket approximatif où engagement et pression défensive sont prioritaires. Le score de 29-29 (28’) soit un 10-5 en huit minutes traduit bien l’âpreté du combat qui est en train de se jouer mais les hommes de Cyril Soto résistent et rentrent aux vestiaires avec une avance de cinq points (31-36).
A la reprise, les oloronais ont quelques belles occasions de creuser un écart plus conséquent mais continuent cependant de faire la course en tête 36-43(26’). Le match va alors complètement changer de physionomie face à un adversaire qui intensifie le combat et s’en remet à son ailier Jouve, auteur de 14 points dans ce troisième quart temps, pour faire exploser la défense de zone. Les « bleu » encaissent un cinglant 22-12 en moins de quatre minutes et sont KO debout.
A 58-53 à l’entame du dernier quart temps, les Béarnais tentent de réagir mais seule l’adresse à trois point de Pérez entretient le suspense (64-56/32’). Le ressort est vraiment cassé et face à l’engagement et au réalisme des Lot-et-Garonnais, les « bleu » vont perdre pieds dans cette fin de match en encaissant un nouveau 7-0 qui porte le score à 71-56 et sonne définitivement le glas pour des Oloronais qui s’inclinent très logiquement 81-68. Un match à oublier très rapidement durant une trêve qui permettra à la JAO de se préparer à un début d’année décisif à Robert Scohy.
