Agen | 89 | 30 | 18 | 24 | 17 |
JAO | 81 | 23 | 15 | 22 | 21 |
Mi-Temps : 48-38.
Lieu : Agen (Stadium municipal). Spectateurs : 250. Arbitres : MM. Thierry et Maneau.
Agen :
A. Abbassi A (22), J. Abbassi (10), Fadli (2), Marlas (3), Champie (7), Picardo (11), Tascon (11), Martinez (2), Lacaze (), Pehoua (21).
J.A. Oloron :
Ort (7) Bonnlalbay (10) Pérez (9) Dardol (16) Benquet () Maysonnave (5) Jakubowski (5) Vragar (13) Turpin (1) Mas Diciembre (15).
Entraîneur : Sébastien Junca.
Sur les terres du leader agenais, les hommes de Sébastien Junca ont offert une belle résistance et démontré leurs bonnes intentions dans ce championnat de Nationale3.
Le début de rencontre est à l’avantage des locaux qui profitent des absences de repli défensif des oloronais pour creuser un premier écart (15-7 / 5’). Bonnelalbay et Kiko Mas remettent la JAO sur les bons rails (32-27 / 12’). Malheureusement l’efficacité offensive de Pehoua combinée avec quelques largesses défensives béarnaises permettent aux lots et garonnais de creuser un des plus gros écarts de la rencontre (45-30/17’). Le temps mort bleu fait du bien et remet de l’ordre dans la maison oloronaise (48-38 / 20’).
Le début de seconde période est marquée par la domination du corps arbitral qui siffle ni plus ni moins 8 fautes en 3 minutes. La JAO, dans le sillage de Dardol, fait preuve d’agressivité offensive et convertit une série de lancers francs qui lui permet de recoller à 55-50 (25’). Le capitaine agenais Abassi sonne la révolte, les oloronais encaissent un 12-3 (67-53/28’) et abordent le dernier quart-temps avec 12 points de retard (72-60). Les lots et garonnais pensent avoir définitivement tué la rencontre à 5 minutes du terme (84-68) mais c’est sans compter sur la collectif oloronais qui signe un 13-2 pour revenir à 5 petits points à 1’10’’ du buzzer (86-81). Les locaux vont cependant gérer cette fin de match pour s’imposer finalement 89-81.
« Malgré une belle résistance de ses hommes, Sébastien Junca a quitté le stadium municipal d’Agen sur une défaite ».
Photo archive Claude Jouanserre.