pub pmp 260x226

pub immomatic 460x226

pub md 460x226

pub ets-nicolas1

équipe 1 JAO 2019 2020

Tursan BC 89 20 23 17 18 11
JAO 86 25 22 20 11   8


Mi-Temps : 43 - 47.

Scores aux quarts-temps : 20-25, 23-22, 17-20, 18-11 prol : 1-8.
Lieu : Samadet (Arènes). Spectateurs : 250. Arbitres : Gaëtan Sauvignon et Loïc Garbay.

Tursan BC :

Fedensieu (6), Joie (), M. Fedensieu (14), Dumartin (12), Sabatou (), Marsan Proeres (4), Darricau (20), Kilambue Katako (12), Ducamp (), Minot (21).

J.A. Oloron :

Delorme (2), Vragar (6), Dardol (18), L. Marchand (18), Caubu (3), Benquet (), Denis (4),  Jakubowski (6), T. Marchand (12), Jeanville (17).

Entraîneurs : Marcel Tremea et Marc Coronas

Les Oloronais se sont inclinés dans les arènes de Samadet après prolongations,  alors que la victoire leur  tendait les bras dans les derniers instants du temps réglementaire. Pourtant tout avait bien commencé pour eux, grâce aux frères Marchand qui avait mis sur orbite leurs troupes (9-14, 5e). Une avance que les Oloronais vont conserver jusqu’à la pause grâce notamment à une fin de premier quart-temps conclu sur un 8-0 en leur faveur (43-47, 20e). Au retour des vestiaires, la défense oloronaise fait des merveilles permettant  l’attaque Dardol/Jeanville de mettre sur orbite la JAO qui va compter jusqu’à 15 points d’avance en milieu de troisième quart temps (45-60, 25e). Bien entendu, les Landais vont réagir et stopper l’avancée folle béarnaise. Mais si le Tursan BC reprend des forces, la JAO résiste et retarde le retour des Landais, pour maintenir une avance intéressante de 7 points à l’entame du dernier quart-temps (60-67, 30e). Les Oloronais vont continuer à résister, mais pas assez. A force de pousser les Landais, poussés par leur public, vont parvenir à égaliser in-extremis à 18 secondes du terme (78-78). La prolongation va être toute aussi tendue. Jusqu’à 30 secondes de la fin du match, Oloron va être devant au score (85-86). Hélas la JAO va perdre la guerre des nerfs dans les dernières secondes, une guerre que maîtrisent parfaitement les Landais dans leurs arènes, les Oloronais l’ont vérifié à leurs dépens.

Fabrice Borowczyk

 

facebook